New-York : L'excès comme mode de vie
- sayan85
- 2 mai
- 1 min de lecture
New York, c’est un shoot d’adrénaline que t’as pas demandé.
Tout est trop : trop haut, trop bruyant, trop rapide. Même les écureuils ont l’air pressés.
Mais voilà, ça marche. Ce chaos organisé a une logique implacable. La ville te prend, t’essore, mais t’inspire. À chaque coin de rue, t’as l’impression de tourner dans un film.
Spoiler : t’es figurant, pas acteur.
Ce qui m’a frappé ? Les contrastes. Le car-wash kitsch au pied d’un gratte-ciel ultra lisse. Les bus d'école vintage croisés entre deux Tesla. Les métros qui passent à fond, comme s’ils fuyaient quelque chose. Le mural d’une gamine rêveuse face à des immeubles qui n’ont plus le temps de rêver. Et toujours ces escaliers de secours accrochés à des façades usées, comme une signature new-yorkaise indélébile.
Côté photo, j’ai tenté de capter ce trop-plein. Des verticales agressives, des néons arrogants. À New York, personne ne t’attend. Et c’est bien ça qui m’a plu. Ici, t’es libre d’être qui tu veux. Anonyme, pressé, fatigué, inspiré. Tant que tu ne bloques pas le trottoir.





































































Commentaires